EDB n°21 - Seine

Editions du Breil
Les guides «EDB» vous font découvrir le vaste réseau de voies navigables françaises.
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Description détaillée

Les guides "EDB" sont destinés aux plaisanciers qui souhaitent quitter les ports maritimes pour aller à la découverte du vaste réseau de voies navigables françaises.

Les conseils de navigation, au début du guide, vous donnent le gabarit des voies concernées, les précautions à prendre et toutes les adresses utiles au navigant. Un tableau de distances indique le temps de passage entre les principaux ports et haltes.

Depuis plus de vingt ans EDB a rassemblé toutes les bonnes adresses le long de votre parcour : sites touristiques, restaurants et musées. Le jour du marché hebdomadaire est indiqué ainsi que les dates des manifestations tournées vers la voie d'eau.

Un chapitre est consacré à l'histoire de chaque canal et rivière navigable et leurs ouvrages d'art exceptionnels sont clairement identifiés.

Une cartographie précise et détaillée, toujours orientée nord/sud, rappelle les cartes marines. L'échelle est adaptée à la voie concernée, généralement 1/50.000 pour les canaux et 1/25.000 pour les rivières.

Les services disponibles dans chaque port le long de votre parcours sont indiqués. Chaque pont est dessiné et l'arche navigable identifiée. Les bouées, rive droite et rive gauche, sont identifiées et le plan de balisage soigneusement mis à jour au moment de chaque nouvelle édition, environ tous les deux ans.

Seine maritime, Seine aval, traversée de Paris, Seine amont, Petite Seine, canal Saint-Denis, canal Saint-Martin, canal de l’Ourcq.

Traversant la France d’est en ouest sur plus de 700 kilomètres, la Seine est le deuxième fleuve français par sa longueur après la Loire. Parfois son identité est mise en question car ses premiers affluents (l’Aube, l’Yonne et la Marne) sont plus forts que la Seine elle-même à cet endroit.

Mais, malgré cela, personne ne conteste sa source située dans la Côte-d’Or, site mythique où de nombreux objets sacrés trouvés attestent de la vénération de nos anciens pour la déesse Sequena.

La Seine a porté bateaux depuis la préhistoire mais la navigation « moderne » date de la première moitié du XIXe siècle. La construction de barrages à aiguilles et le creusement d’un chenal ont permis aux embarcations de plus en plus grandes d’atteindre les ports de Paris. Aujourd’hui cette navigation se prolonge bien en amont de la capitale et les unités fluviales à grand gabarit peuvent même atteindre la ville de Nogent-sur-Seine.

Malheureusement, les derniers kilomètres entre Nogent et Marcilly ne sont plus praticables. Nous les avons inclus dans ce guide mais, c’est à vous les plaisanciers d’agir pour que les collectivités fassent les travaux nécessaires afin qu’ils soient de nouveau navigables. Au-delà de Marcilly, la navigation était prolongée autrefois vers Troyes par le canal de la Haute-Seine. Malgré les travaux récents sur ses écluses et ponts, ce canal est définitivement fermé à la navigation. Nous lui avons néanmoins consacré deux pages car les amateurs de canaux historiques voudront peut-être connaître cette voie par son chemin de halage parfaitement remis en état.

Pour éviter le trafic parisien, vous pourrez emprunter le canal Saint-Denis et le canal Saint-Martin. Ces deux canaux, qui appartiennent à la ville de Paris, sont traités dans le guide. Nous avons même ajouté le canal de l’Ourcq historique bien qu’il soit accessible uniquement aux menues embarcations. Pour pouvoir vous présenter la Seine, nous l’avons parcourue à plusieurs reprises. Nous avons remarqué que le trafic commercial est en augmentation ces dernières années mais ses écluses à grand gabarit sont parfaitement adaptées à la navigation de plaisance. Il y a de la place pour tout le monde à condition de respecter les consignes des éclusiers et autres agents de service de VNF.

Ponts de Paris

Les ponts de Paris. Entre le pont de la Périphérique Aval et le pont de la Périphérique Amont, qui déterminent le parcours appelé « la traversée de Paris », 36 autres ouvrages assurent le franchissement de la Seine. Ils sont tous, sans exception, d’un intérêt architectural et historique mais nous ne pourrons jamais leur faire honneur dans si peu de place. L'éditeur à choisi ses préférés, un peu par hasard.

Après le passage sous le pont Aval qui porte le boulevard périphérique au-dessus de la Seine, vous arriverez au pont Mirabeau, un des plus beaux de tout le parcours. Comme pour presque tous les ponts de la Seine, les crues, la glace en hiver, les accidents de la circulation et, parfois, les conflits militaires, ont fait en sorte qu’un pont d’origine est remplacé même plusieurs fois au cours de l’histoire. Dans le cas du pont Mirabeau, un premier pont en bois de 6 arches est remplacé en 1874 par un pont en fer, remplacé à son tour en 1966 par le pont actuel. Quatre statues qui ornent les avant-becs des piles sont particulièrement photogéniques.

Vous passerez ensuite sous le pont de Grenelle. Au milieu de ce pont métallique des années soixante, vous verrez une copie de « la Statue de la Liberté » d’Auguste Bartholdi. Plusieurs ponts de la fin du XIXe siècle ont été construits pour l’exposition universelle. L’un d’eux, le pont Rouelle portait une voie ferrée. La ligne, peu rentable, a été abandonnée, mais servait plus tard pour le transport de fret. Aujourd’hui, légèrement remanié, il est affecté à la ligne C du RER. La passerelle Debilly est un autre ouvrage temporaire conçu uniquement pour l’exposition. C’est l’oeuvre de Jean Résal, génie peu connu des Parisiens mais à qui on peut attribuer de nombreux ouvrages exceptionnels dont le pont Alexandre III.

Le pont Bir-Hakeim avec sa ligne de métro à l’étage n’est pas le plus beau du parcours mais il représente une belle réussite technique. Le tablier du haut est métallique pour plus de légèreté et le tablier principal en maçonnerie.

Le pont d’Iéna, achevé en 1814, porte le nom d’une célèbre victoire de l’empereur Napoléon contre les Prussiens. C’est un ouvrage classique en maçonnerie. Plus tard, pour apaiser les mêmes Prussiens, de nouveau victorieux, le pont est rebaptisé « Pont des Invalides » mais aujourd’hui il a retrouvé son nom d’origine, et, en même temps, les aigles qui ornaient fièrement son tablier. Le pont de l’Alma actuel, ouvrage des années soixante-dix, est surtout connu par le zouave qui annonce aux Parisiens le niveau de la Seine. Apparemment, lors des crues centenaires de 1910, l’eau est arrivée au niveau de sa tête.

Dans votre traversée de Paris, vous ne verrez pas de pont suspendu, pourtant bien présents sur les autres fleuves. Apparemment, ses structures légères et élégantes, inventées par l’ingénieur français Marc Séguin, ne supportaient pas longtemps le trafic parisien. La première version du pont des Invalides, un pont suspendu classique, s’est même écroulée avant d’être mise en service. Il a été vite remplacé par un autre pont du même type, remplacé à son tour par l’ouvrage actuel en maçonnerie. Ce dernier est orné de deux groupes allégoriques intéressants, la victoire terrestre et la victoire maritime. Les deux dernières passerelles suspendues à Paris se trouvaient à la place de l’actuel pont de Sully. L’une des deux, la passerelle de Damiette aurait été victime des révolutionnaires en 1848 et l’autre, la passerelle de Constantine s’est effondré, le 8 octobre 1872, suite à l’érosion de ses câbles. L’événement a été assez dramatique : un ouvrier projeté dans la Seine, un autre grièvement blessé sur le chemin de halage et un bateau amarré à côté décapité. Le pont actuel, mis en service en 1876, relie la Bastille au quartier Latin. En arrivant de l’amont les deux ponts de Sully avec l’Île Saint-Louis, la cathédrale Notre-Dame et de nombreux ponts en arrière-plan, vous offrent une vue inoubliable de la Seine dans Paris.

Le pont Alexandre III, conçu aussi par Jean Résal, a été inauguré par le Csar Nicolas II en l’honneur de son père, Alexandre III. C’est un ouvrage qui, à l’époque, ne faisait pas l’unanimité. Cependant, avec le passage du temps, tout le monde admire ses compositions en cuivre, les nymphes de la Seine et de la Néva et ses statues dorées.

Le pont de la Concorde, qui date de 1790 est composé, en partie, des pierres de la Bastille. C’est l’œuvre du directeur de l’École des Ponts-et-Chaussées de l’époque, Jean Rodolphe Perronet. Appelé d’abord, le pont Louis XVI, il est devenu, suite aux troubles bien connus, le pont de la Révolution. Redevenu le pont Louis XVI pendant la Restauration, il a finalement retrouvé son nom actuel, plus consensuel.

De nombreux ponts parisiens ont été victimes d’accidents de la circulation fluviale. Le très beau pont de Solférino a connu ce sort. Il a été remplacé, en 1961, par une passerelle provisoire, remplacée à son tour, en 1999, par l’actuelle passerelle Léopold Sédar Senghor. La passerelle des Arts, point de rendez-vous des amoureux du monde entier, a connu un sort similaire. Construit entre 1801 et 1804, il donnait accès au Louvre, appelé à cette époque le Palais des Arts. Ses arches trop étroites étaient mal alignées avec celles du pont Neuf. À la suite de plusieurs accidents, il s’est partiellement effondré au début des années quatre-vingt et a été rebâti entre 1982 et 1984 avec des arches plus larges. Les milliers de cadenas qui alourdissaient ses bastingages viennent de disparaître. Le pont de l’Archevêché, mis en service en 1828, était également source de nombreux accidents. Attention! La sage décision de 1910 de le refaire n’a jamais été réalisée.

On est surpris de découvrir que la plupart des ponts parisiens ne sont pas plus vieux que le XIXe siècle. Les trois plus anciens sont le pont Royal (fin du XVIIe siècle), le pont Neuf et le pont Marie également du XVIIe siècle. Le pont Royal est l’ouvrage de Jacques Gabriel et le Père Francis Romain. Il a été érigé entre 1685 et 1689 sous les ordres de Louis XIV qui l’a même financé de ses propres deniers. Suite aux événements divers, il est devenu le pont National (1792 - 1804), le pont des Tuileries (1804 - 1814) mais les rois sont pardonnés et aujourd’hui il est redevenu royal. Sur la dernière pile de chaque côté, on voit les niveaux des crues les plus dévastatrices de la Seine.

Au XVIIe siècle il y avait encore très peu de ponts à Paris et il fallait un moyen de traverser la Seine entre le Louvre et la rive gauche. Les travaux, commencés en 1578, sont rondement menés et, à la fin de l’année, la première section est ouverte au public. Mais il était loin d’être terminé et les planchers branlants et les brigands qui le fréquentaient rendaient le passage plutôt dangereux. Les travaux sont repris en 1602 et le pont Neuf, que nous connaissons aujourd’hui est ouvert au public en 1606. Exceptionnellement, pour ne pas gâcher la vue, il n’y avait pas de maisons sur ce pont. Par contre, des merciers, confiseurs et autres marchands installaient des boutiques portatives le long de ses trottoirs. Et entre ces boutiques, chanteurs, acteurs et autres artistes amusaient la foule. Ce pont, la fierté des Parisiens, était déjà le centre d’une vie sociale et commerciale frénétique.

À son extrémité, Louis XIII fait ériger une statue équestre de son père Henri IV. Ce cheval, à l’avis de certains, un peu gros, a été finalement détruit mais quelques morceaux trouvés au fond de la Seine sont exposés au Louvre. En 1818, une nouvelle statue, celle qu’on voit aujourd’hui, avec un cheval plus modeste, a été excécutée par le sculpteur Lemot. Le pont Neuf a été témoin de nombreux événements d’importance dans la vie parisienne. Au milieu du XVIIe siècle, lors des années de la Fronde, il a connu des émeutes et en 1739 un grand feu d’artifice célébrait les noces d’Élisabeth de France avec l’Infant d’Espagne. Vers la fin du XVIIIe siècle il est devenu le foyer et point de départ des révolutionnaires les plus ardents. Ce beau pont, véritable centre de la capitale, n’a jamais changé. D’importants travaux de restauration effectués au début du XIXe siècle l’ont légèrement modifié mais celui que vous voyez aujourd’hui est essentiellement le même que celui du XVIIe siècle.

Le pont Notre-Dame, prolongé par le Petit Pont, occupe le site du tout premier pont romain à Paris. Saccagé par les Normands en 882, il a été remplacé par un autre pont en bois lui-même emporté par une crue en 1406. Le premier pont appelé « Notre-Dame » date de 1413 ; un ouvrage en bois exceptionnel qui portait sur son large tablier pas moins de 60 maisons. Centre foisonnant de commerce et de culture, il était célèbre pour ses armureries et ses librairies. Emporté et reconstruit à plusieurs reprises, il fournissait un lieu de rendez-vous pour le Tout-Paris. Les maisons sont finalement supprimées sous le règne de Louis XVI et il devient carrossable en 1787. La dernière version du Petit Pont, qui le prolonge vers le quartier Latin, date de 1853. Il était autrefois un pont à péage. On raconte que les saltimbanques, qui ne connaissaient pas le régime des intermittents du spectacle, pouvaient le franchir gratuitement à condition de faire une grimace, d’où l’expression « monnaie de singes ».

Combien de Parisiens ont pris rendez-vous sur le pont Saint-Michel en plein centre du quartier Latin? Le premier pont à cet endroit date de 1387 et son successeur a vu le jour en 1624. Les nombreuses maisons qui pesaient sur ses fondations et bloquaient le trafic ont été finalement démolies en 1808. Le pont actuel, avec ses trois arches de 17 m et ses « N » impériaux est relativement récent (1857). Pour retrouver la rive droite, on continue sur le pont au Change. Lui aussi se trouve sur l’emplacement d’un vieux pont présent même avant l’occupation romaine. C’est le roi Louis VII qui le fait baptiser « pont au Change » car il était occupé par les changeurs de monnaie de Paris. En 1621, le pont brûle et, entre 1639 et 1647, ce sont les agents de change eux-mêmes qui financent une nouvelle structure. Le pont actuel date de 1858 mais il est construit avec les pierres taillées de son prédécesseur. Comme le pont Saint-Michel, il porte le « N » impérial sur ses flancs.

Au moyen âge, le pont au Double servait à transférer les malades de l’Hôtel-Dieu vers un deuxième établissement situé sur l’Île de la Cité. Certains des malades étaient même logés dans une annexe de deux étages sur le pont lui-même. Emporté à plusieurs reprises par les crues, le pont et ses malheureux occupants se trouvaient chaque fois au fond de la Seine. Quel drame ! Le pont actuel est prolongé vers la rive droite par le pont de l’Arcole. On pense que ce dernier tient son nom d’une victoire de Napoléon en Autriche en 1796.

Il existait au XIVe siècle, entre l’Île Saint-Louis et le quai Saint-Bernard un pont appelé pont Fust de l’Île de Notre-Dame. Drôle de nom! Apparemment le mot « fust » veut dire bois. Un nouveau pont sur ce site, mis en service en 1620, est emporté par les glaces en 1637 et remplacé 20 ans plus tard par le premier des pont de la Tournelle. Il est démoli en 1918 suite aux dégâts causés par la crue de 1910. Le pont actuel, en béton armé couvert de pierre est tout récent. Il date de 1928. À son extrémité, un pylône de 14 m supporte la statue de Sainte Geneviève, patronne de Paris. Il est prolongé vers la rive droite par le pont Marie. Cet ouvrage du XVIIe siècle donnait accès, pour la première fois à l’Île Notre-Dame future Île de la Cité. La première pierre a été posée par Louis XIII le 11 décembre 1614 et le pont livré à la circulation en 1635. Le grand déluge de la Seine suite au dégel de 1658 a emporté la moitié de son tablier et ses maisons. Pour éviter le même sort aux autres habitants, les maisons restantes ont été rasées une vingtaine d’années plus tard. Malheureusement ce bras est interdit aux bateaux de plaisance et vous n’aurez pas le plaisir de passer sous ses arches.

En poursuivant notre voyage vers la sortie est de Paris, vous passerez d’abord sous le pont d’Austerlitz. Un premier pont en fer, la fierté des Parisiens de l’époque, est érigé ici en 1807 pour remplacer les deux bacs. C’était l’un des tout premiers ouvrages de ce type, après le pont des Arts, et suite aux problèmes liés à sa structure, il a été remplacé entre 1854 et 1855 par le pont classique en maçonnerie que vous voyez aujourd’hui. Suit le pont du Métropolitain puis nouveau pont Charles de Gaulle en forme d’aile d’avion et l’imposant pont de Bercy, plusieurs fois élargi pour recevoir le métro. Vous apercevrez ensuite les belles ondulations de la passerelle Simone de Beauvoir, quatrième des passerelles piétonnes sur la Seine après le pont des Arts, la passerelle Debilly et l’ancienne passerelle de Solférino. Si l’on passe en dessous, elle frappe par sa simplicité et ses lignes harmonieuses et, en la traversant à pied, on est impressionné par l’immensité de son tablier en chêne et sa fragilité apparente. C’est l’œuvre de l’architecte allemand Dietmar Feichtinger. Ses éléments ont été fabriqués dans les ateliers Eiffel à Lauterbourg en Alsace et acheminés par le Rhin et la Seine jusqu’à Bercy. Le passage sur la Seine n’était pas sans difficulté. En effet, pour franchir l’écluse de Notre-Dame de la Garenne, il a fallu vider la barge pour que la lentille (qui fait plus de 11,40 m de large) reste au-dessus du niveau du terre-plein. Pour le passage de Paris, par contre, il a fallu la ballaster pour passer sous les vieux ponts.

En poursuivant votre parcours, le pont de Tolbiac, et le pont National vous rappelleront l’architecture utilitaire et solide de la fin du XIXe siècle. Il est intéressant de noter que les travaux d’élargissement du pont National, commencés en 1936, ont été achevés en pleine guerre en 1944.

La traversée de Paris se termine au niveau du pont de la Périphérique Amont : bel exemple des œuvres des bâtisseurs de ponts modernes, héritiers de la science de Résal, Perronet et Ferdinand Arnodin. On doit à ces hommes toute la beauté et la diversité des ouvrages parisiens mais s’ils pouvaient seulement voir les ponts modernes, ils seraient, eux-mêmes, émerveillés par les œuvres de leurs successeurs.

Format 21 x 29,7 cm
156 pages
ISBN 2-913120-40-7
Dernière mise à jour 2016

Corrections :

P 16
Port de plaisance du Bassin Saint Gervais à 76000 ROUEN
Capitainerie : 02 35 08 30 59
Agent du port : 07 61 03 66 18
Mail: Plaisance@metropole-rouen-normandie.fr
site www.rouenportdeplaisance.fr
VHF : canal 9

P 16
Le Relais Nautique de Meulan est fermé.

P 37
Halte fluviale de l’Île Lacroix : Halte gérée par la commune. Elle n’est plus accessible qu’aux bateaux ayant un anneau à l’année. Il n’y a plus de capitainerie ni de capitaine sur le port.

P 37
Port de plaisance du Bassin Saint Gervais
Capitainerie : 02 35 08 30 59
Agent du port : 07 61 03 66 18

P 37
Amfreville-la-Mi-voie (PK 238,7) : Il n’y a plus de possibilité d’avitaillement. La péniche Sargasse a été déchirée et ne sera pas remplacée. Par contre il y a moyen de faire le plein de carburant au bassin Saint Gervais au port de plaisance.

P 39
PK 238,7 : Il n’y a plus d’avitaillement en carburant et plus de péniche « Le Sargasse » avec accastillage.
PK 40 : Bras secondaires. Il faut compléter le texte : L’enfoncement n’y est pas garanti. Si vous souhaitez vous y engager, faite le de préférence à marée montante, ce qui vous évitera de vous échouer longtemps et de devoir attendre la marée haute suivante pour vous dégager.

P 45
PK 204,5 RD : En face du village Le Manoir, il y a une mise à l’eau.

P 47
PK 201,6 RG : en aval de l’emplacement du bateau à passagers, il y a une mise à l’eau.

P 47
En amont et en aval de l’île du Noyer et du Frêne, il y a une balise rouge/vert.

P 47
En aval de l’île de Tournedos, il y a une balise rouge/vert.

P 48
En amont et en aval de l’île du Noyer et du Frêne, il y a une balise rouge/vert.

P 48
En aval de l’île de Tournedos, il y a une balise rouge/vert.

P 48
En amont de l’île de Connelles, il y a une balise rouge/vert.

P 54
Au PK 167, il y a 2 balises rouges supplémentaires sur la digue.

P 62
Au PK 133,9 en RD, il  y a un nouvel embarcadère pour les bateaux à passagers.

P 64
Au PK 119,1 en RG, il  y a un nouvel débarcadère pour les voitures.

P 65
Sur le dessin du Pont de Mantes (bras de Mantes), il faut inverser les flèches verte et bleue, la navigation se faisant à gauche à cet endroit.

P 67
Sur le dessin du Pont de Mantes (bras de Mantes), il faut inverser les flèches verte et bleue, la navigation se faisant à gauche à cet endroit.

P 68
Sur le dessin du pont de Rangiport-Epône bras droit c’est une flèche bleue et pas verte, c’est un bras uniquement avalant.

P 69
Au PK 99, il y a un nouveau bac pour cyclistes et piétons qui a été mis en service avec sur chaque rive un petit ponton flottant pour son accostage.

P 71
Sur le dessin du pont de Triel, le passage pour les montants est plus à droite en dessous du losange jaune.

P 70
PK 93,6 en RD, Le Relais Nautique de Meulan est fermé.

P 74
PK 73 en RG dans le bras d’Andrésy, un nouveau linéaire de ponton flottant de 100 m de long est disponible pour la plaisance avec les services eau et électricité (bornier CB).

P 74
PK 0,7 sur l’Oise, magasin d’accastillage et gasoil rouge sur avitailleur « Agrès Energy » 3, quai du Confluent à Conflans-Ste-Honorine 01 75 86 44 62 – 06 67 44 42 57 (Attention pas de gasoil blanc).

P 77
Sur le dessin du pont-rails du Pecq bras droit c’est une flèche bleue et pas verte, c’est un bras uniquement avalant.

P 80
PK 52 en RG, 4 nouveaux ducs d’albe pour bateaux à passagers.

P 80
Sur le dessin du pont du Pont de Chatou (bras droit), le passage pour les montants est plus à droite en dessous du losange jaune.

P 80
Sur le dessin du pont de Bougival (bras de Marly), le passage pour les montants est plus à droite en dessous du losange jaune.

P 81
PK 44  en RG dans le bras droit dit de la Rivière Neuve, il y a un quai pour les bateaux de commerce.

P 81
PK 41, il y a des travaux de construction pour un nouveau pont pour le doublement du pont rails de Bezons, sur les deux bras.

P 87
PK 28,8 en RD, l’appel VHF pour entrer dans le canal Saint Denis n’est pas toujours bien reçue au PC de gestion des écluses qui se trouve à l’autre bout du canal. Mieux vaut utiliser le téléphone pour l’avertir de votre présence : 01 40 35 63 21 PC Pont de Flandres.

P 88
PK 19,3, il y a une nouvelle passerelle piétonne reliant l’île de Puteaux qui enjambe le bras de navigation.

P 90
PK 11,6,  il y a une nouvelle passerelle piétonne reliant l’île Seguin qui enjambe le bras en rive gauche (bras pour la navigation des avalants).

P 91
PK 9,  pour les bateaux montants, il manque le panneau VHF 10 Veille obligatoire.

P 93
La navigation dans le bras de la Monnaie se fait uniquement montant. Vous y trouverez un courant plus important, surtout à hauteur du Petit Pont et du Pont au double. Lorsque vous allez quitter le bras pour reprendre le chenal central, Vous devez vous assurer que le passage est libre et vous devez vous annoncer sur la VNH 10 Bateau « Xxxx » montant au sortir du bras de la Monnaie.  S’il y a des bateaux montant au bras Saint Louis, ils répondront. Il est interdit  de partir avalant en sortie du bras de la Monnaie. Vous devez au moins remonter jusqu’au Pont de Sully pour faire demi-tour et repartir avalant en respectant l’alternat.

P 98
Dans le texte : Pour annoncer votre passage sur cette rivière vous devez appelez l’écluse par VHF sur le canal 19 ou par téléphone au 01 43 68 72 37. Le port de Nogent-sur-Marne, 3 km plus loin, s’est agrandi et est également très populaire. Il y a généralement des places disponibles pour les bateaux de passage.

P 98
Port de Neuilly-sur-Seine : 01 43 08 21 21.

P 99
PK 177,5, sur la Marne, l’écluse Saint Maurice est joignable par VHF  19 ou au numéro de téléphone 01 43 68 72 37.

P 100
Dans le texte : En général, c’est la grande écluse en rive droite qui est en service, mais pour les 38 m et les plaisances, l’écluse en rive gauche est parfois utilisée surtout s’il y a du trafic.

P 101
PK 157,  Le chantier JMP Marine n’existe plus.

P 109
PK 129,8,  les bajoyers de l’écluse de Coudray sont en palplanches. A mi-hauteur, une lisse horizontale légèrement débordante peut être un piège pour vos pare-battages. Veillez à ce qu’il ne reste pas coincé derrière aussi bien à la montée qu’à la descente. Lorsque vous êtes montant, c’est une écluse qui balance un peu et qui n’est pas facile à passer. Les pare-battages ayant tendance à se mettre dans les creux, votre coque ne sera pas bien protégée. Restez le plus en aval possible dans l’écluse.

P 113 (P 115)
PK 110 en RD sur l’île St-Etienne, toute la longueur de la halte est   équipée de service d’eau et d’électricité. Tout le quai est payant.

P 118
Valvins, le Port de plaisance du Pays de Fontainebleau : AMF (Amicale des Marins du Pays de Fontaibleau) - Port de Plaisance - 1 rue du port de Valvins 77210 Avon amf.amf@orange.fr  capitainerie@amf-portdevalvins.org  01 60 72 57 41 - 06 49 95 62 63

P 119
PK 90, en RG, le port de Valvins a aménagé un ponton pour les visiteurs le premier ponton tout en amont juste après les pieux de protection.

P 119
PK 90,8 en RD, le club de voile et la grue n’existe plus.

P 130
PK 45,5 en RG, l’eau et l’électricité n’ont pas été remis en service suite à la dernière crue.  

P 134
Au PK 18,6, l’écluse de Nogent reste franchissable à la demande, en vous annonçant la veille avant 16h00 (06 63 38 96 33). Vous pouvez vous adresser à notre poste de commandes centralisées des écluses de la petite Seine (01 64 60 42 57) pour obtenir des informations à ce sujet et réserver votre éventuel passage à cette écluse.

P134 à 137
Du PK 13,6 au PK 0. Les ouvrages à l’amont de Nogent sur Seine ne sont plus manoeuvrés, ce qui veut dire que la navigation en bief reste autorisée mais vous ne pouvez pas franchir les écluses. A ce titre, les canaux ne sont plus entretenus, il n’y a pas eu de dragages depuis de très nombreuses années, et VNF ne s’engage pas sur un tirant d’eau ou un mouillage.

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